Crédit Photo: Atelier BPC & ASLAK (CrossFit) La double exposition est une technique ancienne qui a connu ses heures de gloire à l’époque argentique, notamment lors de l’essor du film 35 mm. Les boîtiers de l’époque permettaient alors aux esprits les plus modernes de s’aventurer dans un domaine artistique singulier plus onirique, en utilisant les expositions multiples. Soit il suffisait de ne pas avancer le film (par simple oubli, de nombreuses doubles expositions sont nées !), Lire la suite
1/Le grain argentique. Le terme « argentique » s’est répandu au début des années 2000 quand le besoin de différencier la photo classique de la photo dite numérique, s’est fait sentir. Le film argentique tel que nous l’avons connu et que continuent d’utiliser certains passionnés, est constitué d’un support (film plastique actuellement, autrefois plaque de verre (1871)) recouvert d’une émulsion gélatineuse contenant, disposés de manière hétérogène, des cristaux de bromure d’argent sensibles à la lumière. Outre l’aspect Lire la suite
En photographie argentique deux produits chimiques sont nécessaires après la prise de vue pour obtenir une image : le révélateur et le fixateur. Le révélateur va agir sur les sels d’argents de la pellicule afin de faire apparaître les zones exposées à la lumière, le fixateur va ensuite éliminer les composants non exposés et non révélés afin d’éviter que l’image finisse par noircir (pour plus d’informations je vous conseille d’aller lire cette page sur laquelle tout le Lire la suite
Après avoir utilisé le boitier Ondu lors d’une virée photo atypique, l’envie de fabriquer un sténopé « maison » s’est imposée naturellement. Nous nous sommes retrouvés samedi après-midi avec Alexandre pour mettre en pratique les connaissances glanées sur le net, avec pour objectif la fabrication d’un prototype fonctionnel.
Le sténopé est un appareil photographique simplifié à l’extrême : une simple boite percée ! Basé sur le principe de la « camera obscura » (principe est connu depuis l’antiquité), il s’agit de restreindre la lumière extérieure en forçant ses rayons à passer par une petite ouverture : on obtient alors une image inversée (droite/gauche et haut/bas) sur la paroi située derrière l’ouverture. Il suffit de placer sur cette paroi un support photo-sensible (pellicule argentique, papier photo ou autre) Lire la suite
La manipulation d’un reflex bi-objectif est quelque chose de fantastique. Outre le coté mythique de l’objet rappelant le Rolleiflex de Doisneau, l’appareil invite à prendre son temps. Le cadrage impose au cerveau une certaine gymnastique pour réussir à tourner l’appareil dans la bonne direction lorsque l’on souhaite redresser l’horizon dans le viseur du fait de l’inversion de l’image sur le dépoli, le film s’avance en tournant un bouton ou une manivelle, tous les réglages se font manuellement. On (re)découvre avec Lire la suite
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