La manipulation d’un reflex bi-objectif est quelque chose de fantastique. Outre le coté mythique de l’objet rappelant le Rolleiflex de Doisneau, l’appareil invite à prendre son temps. Le cadrage impose au cerveau une certaine gymnastique pour réussir à tourner l’appareil dans la bonne direction lorsque l’on souhaite redresser l’horizon dans le viseur du fait de l’inversion de l’image sur le dépoli, le film s’avance en tournant un bouton ou une manivelle, tous les réglages se font manuellement. On (re)découvre avec Lire la suite