Automatisme de la sensibilité ISO (pourquoi, comment)

Dans son dernier article Gautier nous a présenté la notion de triangle de l’exposition constitué par l’ouverture du diaphragme (quantité de lumière atteignant le capteur), la vitesse d’obturation (le temps où le rideau de l’obturateur laisse passer la lumière) et la sensibilité ISO (International Standard Organisation) soit la capacité plus ou moins grande à percevoir l’image.   Pendant toute la période argentique, plutôt que de triangle il était plus juste de parler de « Bipied » assisté Lire la suite

Loading